8 Novembre : Lire et faire lire avec Brigitte Bacoup
Magalie, amoureuse des livres, vous partage sa joie et sa passion de la littérature au travers de rencontre et de découverte d’ouvrages et d’acteurs de cet univers. Roman, témoignage, bande-dessinée ou manga, tout y passe dans les mains de cette passionnée qu’elle partage avec plaisir.
Septembre – Octobre 2018 : Apprendre à tourner la page
En plaçant la lecture au coeur du processus de détention, l’association « Lire pour en sortir » a pour objectif de favoriser la réinsertion des détenus et des prévenus en soutenant les activités autour du livre dans les établissements pénitentiaires.
19 Septembre : Catherine Soullard se livre à Lo Païs puis aux Nourradons (Maison d’arrêt de Draguignan)
L’auteur qui partage son temps entre l’Est-Var et la capitale dédicacera, mardi, son dernier roman Suzanne,1947 à la librairie Lo Païs avant d’aller à la rencontre des détenus de la Maison d’arrêt.
Véronique Macary retrouve un auteur, une bénévole, une association et tous sont légèrement intimidés par leur destination. Limiter la récidive à coup de livre en maison d’arrêt, démonstration.
Le 8 juin, Vincent Ollivier rencontrait une vingtaine de détenus de la prison de Mont-de-Marsan pour discuter de Toscane, son premier roman paru chez Flammarion.
Paul Éluard, Albert Camus, Winston Churchill, Martin Luther King… Depuis le début du mois de février, ces illustres plumes ont trouvé une seconde jeunesse dans un endroit inattendu : derrière les murs de la Maison centrale de Saint-Maur.
30 Mai : Joël Dicker prend la prison au pied de la lettre
Draguignan : le romancier a échangé hier avec une vingtaine de détenus à la maison d’arrêt. Evasion… littéraire pour les prisonnier, experience hors norme pour l’écrivain.
26 Mai : La connexion au-delà des murs
« C’est ma photo, c’est bien moi ! ». Avec une bonne dose d’humour, l’écrivain suisse a détendu l’atmosphère, hier après-midi, en accueillant une vingtaine de détenus dans la salle de spectacle de la maison d’arrêt des Nourradons.
Mars : Elisabeth Gayon, Passeuse de livres
Elisabeth Gayon est bénévole au sein de Lire pour en sortir. Cette association, créée en 2014, propose un programme de réinsertion par la lecture en milieu carcéral. Intervenant à la maison d’arrêt pour femmes de Versailles, cette retraitée vient partager avec les détenues son goût des belles lettres et révéler les potentiels avec des mots.
1er Mars : La lecture, un outil pour s’évader de prison
Un nouvel atelier a débuté à la prison du Port cette semaine. Mis en place par l’association Lire pour en sortir, il permet aux détenus de s’évader et de préparer leur réinsertion. Notamment en apprenant à lire et à écrire.
Récemment installée à La Réunion, l’association « Lire pour en sortir » va à la rencontre des détenus pour les initier à la lecture. Un bol d’air et un effort intellectuel qui valorise les prisonnier
Placer la lecture au coeur du processus de détention et de réinsertion. « C’est un concept nouveau, différent de la visite traditionnelle », assure Claude Saumier. Cet ancien visiteur de prison, qui a longtemps parcouru les couloirs de l’ancien établissement dracénois, a décidé de poursuivre son engagement au sein de la maison d’arrêt des Nouradons.
12 Décembre : France, l’émancipation et l’évasion par la lecture dans une prison pour femmes
Depuis 2015, l’association « Lire pour en Sortir » propose aux personnes emprisonnées de participer à un vaste programme de lecture. En échange, elles peuvent bénéficier d’une remise de peine. C’est aussi la promesse de riches échanges, avec les auteur-es. Reportage à la Maison d’Arrêt des femmes de Versailles où les participantes ont rencontré l’écrivain Jean-Baptiste Del Amo.
Dans le cadre de son programme de réinsertion par la lecture, l’association Lire pour en sortir organise régulièrement des rencontres avec des écrivains en milieu carcéral. Reportage à Arras.
Un jeudi après-midi, dans la bibliothèque de la maison d’arrêt d’Arras. Une douzaine de personnes détenues, deux bénévoles et un professeur détaché de l’Éducation nationale ont réunis autour de Marc Salbert, écrivain et auteur d’Amour, gloire et dentiers, paru au printemps dernier.
14 Juin : Se réinsérer dans la société par la lecture
L’association « Lire Pour en Sortir » accompagne la réinsertion des détenus par la lecture. Elodie Perroteau, responsable de programmes, explique leurs missions et leur vision du sens de la peine carcérale.
« J’ai vu une détenue de 65 ans, qui n’avait jamais lu, s’émerveiller de voir qu’elle était capable de lire un livre », témoigne Françoise Jost. Depuis mai 2016, cette bénévole du Secours catholique accompagne les détenus qui participent à un programme de lecture.
24 Avril : Tribune, Il faut réduire de 15 000 le nombre de personnes détenues
Un taux de personnes détenues et de surpopulation carcérale jamais atteint en France, la démission du tout nouveau directeur de l’Administration pénitentiaire et le refus de la directrice de la maison d’arrêt de Villepinte, en Seine-Saint-Denis, d’accueillir toute nouvelle personne détenue dans son établissement saturé à plus de 200 % marquent l’échec des politiques publiques menées en matière de sécurité depuis plus de 15 ans à travers des dispositifs pénaux inefficaces
Lire pour en sortir… C’est le nom d’une association qui propose un programme de lecture en prison permettant de « gagner » des jours de remise de peine. C’est aussi un moyen pour les détenus de s’évader quelques instants, le temps d’un livre. Reportage auprès des femmes de la maison d’arrêt de Versailles.
16 Décembre : Lire pour « s’évader », ou comment se reconstruire en prison (Vidéo)
Lire pour « s’évader » et se préparer un nouvel avenir: la maison d’arrêt de Versailles, en partenariat avec l’association « Lire pour en sortir », promeut la lecture en prison comme vecteur de réinsertion, une activité prisée des détenues. SUJET.
15 Décembre : Avec « Lire pour en sortir », les détenus s’évadent par la lecture
Lire pour « s’évader » plutôt que « s’abrutir » devant la télévision : la maison d’arrêt de Versailles, en partenariat avec l’association « Lire pour en sortir », promeut la lecture en prison comme vecteur de réinsertion, une activité prisée des détenues.
Partant du principe que la culture favorise la réinsertion, le programme « Lire pour en sortir » vise à intéresser les détenus à la lecture en échange de réductions de peine.
Créée en septembre 2015, l’association « lire pour en sortir » propose de faire du livre un outil de réinsertion culturelle en permettant aux détenus de découvrir les richesses de la littérature. Une initiative originale qui connait un succès grandissant.
Lire en prison: un bon moyen de « s’évader » et de se cultiver, mais aussi de contribuer à réduire sa peine ! Les explications de Vincent Ollivier, avocat et trésorier de l’association, au micro de Vincent Belotti.
1er Septembre : Annonce des 15 nouveaux lauréats La France s’Engage
Bénévoles, volontaires, réservistes, responsables associatifs, professionnels engagés… : les forces de l’engagement se sont rassemblées à l’Elysée, mercredi 31 Août, à l’occasion de l’annonce de la cinquième promotion de lauréats « La France s’Engage ».
6 Juin : Mazarine Pingeot défend l’écriture à la maison d’arrêt
Invitée par l’association Lire pour s’en sortir, la fille de François Mitterrand est allée à la rencontre des détenus pour parler de son travail d’écrivain, ce lundi 6 juin.
3 Mai : La lecture à l’aide de la réinsertion des personnes détenues (Audio)
Lire pour en sortir est une association loi 1901 qui a pour mission la réinsertion des personnes détenues par la lecture. Elle développe un programme de lecture ouvert à toutes les personnes détenues, elle participe à la sortie de l’illettrisme avec les Enseignants, elle met en place des activités culturelles, répond aux besoins des bibliothèques pénitentiaires et aide à l’insertion professionnelle.
25 Avril : Mont-de-Marsan : lire des livres, pour sortir plus vite de prison
L’association Lire pour en sortir et le centre pénitent de Pémégnan ont signé une convention qui permet d’offrir des jours de remise de peine aux détenus qui lisent.
Mars : Faire entrer la culture en prison, c’est urgent !
Alexandre Duval-Stalla (promo 98) : Avocat, écrivain, maître de conférences en philosophie politique, cet Éco-Fi 98 a créé, en 2014, Lire pour en sortir, une association qui prône la réinsertion des détenus par la lecture. Une démarche innovante et un parcours original.
11 Janvier : Pour un livre lu, une réduction de peine (Audio)
Pour un livre lu, une réduction de peine : c’est l’une des mesures prévues par la nouvelle loi pénale qui se met progressivement en place en France. (8’50 – 14′)
Lire pour en sortir promeut la réinsertion des personnes détenues par la lecture. Quel que soit leur niveau de formation, les volontaires s’engagent à lire au minimum un livre par mois.
Réinsérer les détenus et alléger leur peine grâce à la lecture. Une idée brésilienne à l’origine et portée en France par un avocat : Alexandre Duval-Stalla. Passionné de littérature, selon lui la lecture a toutes les vertus : la compréhension de soi-même, l’ouverture aux autres, la connaissance du monde.
4 Novembre : Aéroports de Paris lance sa fondation contre l’illettrisme
Un chèque de 30 000€ en 2015, 25 000 en 2016 et 20 000 en 2017 pour la réinsertion des détenus via la lecture. Cette jolie enveloppe destinée à l’association Lire pour en sortir a été décidée ce mercredi par la Fondation Aéroports de Paris, lancée officiellement cette semaine.
23 Septembre : Lancement d’un programme de réinsertion des détenus par la lecture
L’association « Lire pour en sortir » soutenue par le Secours Catholique a lancé un programme pour développer la lecture en prison et favoriser la réinsertion des détenus, qui peuvent bénéficier de remises de peines s’ils s’investissent.
Grâce à la lecture, l’association « Lire pour en sortir », avec le soutien du Secours Catholique-Caritas France, favorise la réinsertion et la sortie anticipée des détenus.
1er Avril : « Lire pour en sortir » se rend en prison
« Lire pour en sortir » est une jeune association qui développe notamment des programmes de lecture permettant à des condamnés de bénéficier de réductions de peine.
7 Juillet : Réforme pénale : lire des classiques pour réduire la peine
Lire pour sortir de prison, l’idée peut paraître incongrue. Déconnectée de la réalité carcérale : surpopulation, insalubrité, violence physique et morale, détresse psychologique, indigence généralisée. Pourtant, dans le cadre de la réforme pénale, le gouvernement a présenté cet amendement, adopté au Sénat, instaurant un programme de lecture intitulé « Lire pour en sortir ».
4 Juin : Réforme pénale : Gaymard propose une remise de peine aux prisonniers qui lisent
S’évader par la lecture, c’est littéralement ce que propose Hervé Gaymard. Dans le cadre de la loi sur la réforme pénale, examinée depuis mardi à l’Assemblée nationale, le député UMP doit déposer mercredi soir un amendement proposant une remise de peine « aux personnes condamnées qui lisent un livre et en font un compte rendu écrit », selon le site 20minutes.fr.
4 Juin : Réforme pénale : un amendement UMP propose une remise de peine contre la lecture de livres
Longtemps, les détenus sont allés se coucher de bonne heure pour (re) lire A la recherche du temps perdu de Marcel Proust. Dans le cadre des débats sur la réforme pénale, le député UMP Hervé Gaymard va proposer, ce mercredi soir, un amendement qui prévoit une remise de peine de cinq jours pour chaque détenu qui aura lu un livre et rédigé une fiche de lecture.
4 Juin : Lire pour réduire sa peine, un amendement UMP à la réforme pénale
La réforme pénale portée par Christiane Taubira est sur les rails, et de nombreux députés vont embarquer à bord du train pour une pléthore de débats à venir. Le député UMP Hervé Gaymard présentera ce soir un amendement qui proposera des remises de peine aux détenus ayant lu un ouvrage et rédigé une fiche de lecture sur celui-ci. Une proposition déjà expérimentée au Brésil ou en Italie.